D'abord, l'IRL
Je m'appelle Mathieu, ou Mat pour les intimes. Je suis un petit être âgé de 15 ans, mesurant 1m71 et pesant 58 kg, étant en 3ème, la classe de Victor Hugo et tout le blabla cauchemardesque ! J'habite une grande maison tout blanche et très 'zolie de la banlieue orléanaise. Je suis issue d'une famille nombreuse, j'ai 4 sœurs (misère et putréfaction ... ) et 1 frère. J'ai aussi skype.
J'aime
-Mes potes
-Les sorties avec eux
-Les fetes avec eux
-Les délires avec eux
-Les pates
-Les raviolis en boite
-Le cassoulet William Saurin (que tout le monde trouve infect )
-La télé
-Le sport (hand, tennis et foot)
-La télé
-Rien faire
-Manger un beignet devant l'ordi en jouant à Dofus
-Dofus =P
J'aime pas
-Les râleurs
-Les rageux du genre "mare des yop feu ki font tempet troi foi i son abusé c trop dla trich"
-Mes ennemis (normal? )
-Mes profs (normal ! )
Mes horaires./disponibilités
Lundi : de 17h à 23h30
Mardi : de 16h30 à 0h00
Mercredi : de 13h00 à 20h00
Jeudi : de 17h30 à 2h15
Vendredi : de 17h à 22h30
Samedi-Dimanche : Ca dépend de mes sorties, soit toute la journée soit toute la matinée, de 8h30 à 13h30
Maintenant, on passe à l'IG
Sur l'officiel, j'ai visité nombre de serveur, et me suis basé sur 2 principaux : Danathor et Otomai
-Sur Danathor :
J'ai eu sur ce serveur un iop niveau 105, basé terre, et 2 mules nunu full drop.
-Sur Otomai :
Sur Otomai, j'ai eu des persos moins superficiels. Un panda terre/multi élément lvl 167 notamment.
Et pour finir, le plus important : MES MOTIVATIONS !
Je commence par mes qualités informatiques, qui sont assez élargies. J'ai été modérateur sur deux autres serveur privés, moyennement connu, que je ne citerai pas pour ne pas enfreindre les règles du forum (je dis juste qu'ils sont des les 3 premières pages de RPG Paradize).
Ensuite, mes motivations en tant que MJ :
Le rôle de Mj est principalement d'organiser des tournois/events avec une récompense à la clé et aider les joueurs qui ont des problèmes. Dans ce cas, je l'ai déjà expliqué au dessus, je pourrais les aider. Pour les events, je suis un gars fétard, qui organisera de nombreux évents, s'il est pris dans le staff (un tous les 2 jours à peu près), qui sera préparé, jusque dans les moindre détails. Aussi, un bon MJ se doit de veiller au bon fonctionnement du serveur. Je pense que sur ce point je suis capable de le faire
Mes qualités mentales:
J'aime aider les gens qui sont dans le besoin, et partager mon savoir informatique. Aussi, je pourrais rigoler avec les gens, je serais souvent là. Je suis sympa, (enfin pour moi) tolérant, mais il y a des limites, strict mais pas trop, bien organisé, et travailleur acharné.
Merci d'avoir pris le temps de lire ma candidature !
Cordialement =)
Lefullsexy
Je joins un petit rp retraçant l'histoire de mon panda sur otomai :
La pluie crépitait sur les feuilles de bambouto. Pandala était endormie, par cette sombre nuit d'hiver. J'observais, avec une certaine mélancolie, l'horizon amaknien où trônaient les mythiques temples des dopeuls. Amakna, la région de tous les bohneurs. Je me dirigeai vers mon lit, harassé, quand la sonnerie de la porte retentit. Je me précipitai dans l'escalier, bien que celui-ci soit raide. J'ouvris la porte à la volée, et une grande silhouette dégingandée apparut. Je l'observais, attendant que il ou elle parle, et décidai au bout d'une longue minute d'engager la conversation :
"Bonjour, qui êtes-vous?
-Oomph, fut la réponse.
-Pardon?
-Bonjour jeune homme, dit une voix éraillée."
Je répétais d'une voix que j'aurais voulue plus rassurée :
-Qui êtes-vous ?
-Un ami de ton père, répondit la personne qui était visiblement un vieillard. Un vieil ami.
-Mon père est mort, répliquais-je, d'un ton à la fois frustré et triste.
-Je sais. C'est toi que je cherchais."
Étonné, je lui demandai:
-C'est pour quoi ?
-Un grand danger rôde sur le continent. Brakmar a déjà pénétré dans Bonta, massacrant tous ses habitants. Ses soldats se dirigent maintenant vers l'Ouest, vers Amakna, la ville où réside ta mère."
Un frisson me parcourut l'échine. Mon père m'avait dit qu'il m'avait trouvé aux alentours de Terrdala.
"Ma..ma m..mère ? demandais-je. Mon père ne m'en a jamais parlé.
-Euh... Oups... euh ... désolé. Oublie ce que j'ai dit, bafouilla le vieillard"
Puis il reprit en m'annonça d'un air grave :
-Tu dois réunir 3 guerriers d'un élément différent du tien. Toi, tu es basé sur la force. Trouve 3 pandas basés sur la chance, l'intelligence et l'agilité. Une fois trouvés, tu expliqueras qu'un grand danger plane sur Amakna. Vous devrez ensuite vous apprendre vos éléments, afin que vous soyez ce que l'on appelle dans ls temps modernes, des guerriers multi-éléments. Puis vous irez à notre chère Amakna, sauver ses habitants.
-Et si je refuse? lançai-je hardiment. Pourquoi moi ?
-Parce que. Tu dois le faire. La survie du monde est entre tes mains et de celles de tes futurs alliés."
Sur ce, essoufflé de son long discours, il repartit en courant avec une vélocité étonnante.
Épuisé, j'allai me fourrer dans mon lit, tirant la couette en laine de bouftou jusqu'à mon cou.
Cette nuit-là, enfin ce bout de nuit-là, je ne dormis pas. Je réfléchissais. La peur. La gloire si je réussissais, la mort si j'échouais. Tous ses sentiments contradictoires se bousculaient dans ma tête.
Le lendemain matin, je pris ma décision. J'allais tenter de sauver Amakna.
Je m'élançais, cherchant d'abord à trouver un panda de l'élément feu. Je me dirigeais donc, avec ma fidèle hache Terrdala, vers le grand, violent, sanglant, mais éblouissant village de Feudala. Au début, le voyage se passa bien. Quelques bulbiflores se chamaillaient comme à leur habitude. Mais la foret devint plus dense, et je fus obligé de trancher les ronces insolentes qui se dressaient devant moi avec ma hache. Essoufflé, je parvins enfin à Feudala, où un garde, avec une amabilité typique du coin, le barra la route. Il me demanda :
"Hé gamin t'es pas d'chez nous toi. T'entres pas.
-Je cherche quelqu'un de l'élément feu. N'importe qui. Puis-je entrer dans votre village afin de demander à votre communauté si une personne voudrait m'accompagner. Amakna est en grand danger"
Le garde éclata d'un rire bruyant.
"Vas-y, si ça t'fais plaiz'. Mais si tu réussis pas, j'te laisse pas r'ssortir. Et on t'garde en otage."
J'entrai dans le village, où l'animation était grande. Enfin, dans un recoin sombre, j'aperçus un petit panda, qui versait de grosses larmes. J'allai le voir. Il avait à peu près mon age. Je l'accostais donc :
"Salut, dis-je en agitant faiblement la main. Pourquoi tu pleures?
-Mon père, le chef du village, ne veut pas que je sorte au delà de Pandala. Mais moi je veux. Dis-donc toi, lança t-il. T'es pas du coin. Tu viens d'où ? De Terrdala à c'que j'vois. Pourquoi t'es là ?
-Je cherche quelqu'un pour m'accompagner. Il faut qu'un guerrier panda de chaque élément m'accompagne. Amakna est en danger, il faut la sauver. Acceptes-tu de venir avec moi ?"
Le garçon sembla réfléchir, puis acquiesça.
"C'est d'accord. Mais mon père n'en saura rien.
-Allons-y !"
Et nous nous dirigeâmes vers la porte Feudala. Le garde dormait, et son haleine sentait tellement l'alcool, que quand il respirait, le parfum de bière emplissait nos narines.
Nous courûmes vers Airdala. Nous arrivâmes dans une clairière claire, comme celles qui bordaient Airdala. J'avais demandé pendant notre voyage le prénom de mon compagnon:
"Pand-Feu, me répondit-il. Et toi ?
-Pandan-Lku."
Arrivés à Airdala, nous nous dirigeâmes vers la grande porte. Le garde nous laissa entrer sans trop de problèmes. Nous pénétrâmes dans Airdala. Visiblement, une assemblée de village, annuelle, se déroulait. Nous nous avançâmes, attendîmes que le chef ai fini pour lui demander s'il pouvait nous laisser monter sur l'estrade pour adresser un message.
"Bien sur, répondit-il avec un grand sourire." Ces Airdaliens étaient vraiment très gentils.
Je grimpai sur l'estrade, toussotai, un peu stressé, et déclara, comme un message lancinant :
"Amakna est en danger. Nous avons besoin d'un guerrier de mon age, de l'élément air."
A ma grande surprise, une foule de mains se levèrent, et je choisis un jeune panda d'apparence robuste.
"Toi. Oui toi, tandis qu'une mimique étonnée lui traversa le visage, montrant qu'il avait levé la main en savant qu'il n'y avait pas beaucoup d'espoir. Tu nous accompagneras."
Notre nouveau compagnon nous suivant, nous nous dirigeâmes donc vers le village restant : Akwadala. Au bout d'une bonne heure de marche intensive, nous arrivâmes aux douves d'Akwadala. Le garde nous adressa un regard suspect , mais nous laissa entrer. La première chose que nous vîmes, c'est cette majestueuse cascade, où nombre d'enfants et d'adolescents se baignaient. Mais un restait à part. Je m'approchai de lui, et lui demanda :
"Pourquoi tu ne vas pas tout simplement avec les autres jouer dans l'eau ?
-Parce que j'en ai marre de l'eau, me répondit-il. Quand j'étais petit, on me disait tout le temps que j'avais un don, quand je lançais ma vague à lame. Tout le temps, tout le temps. Incessamment. Donc j'en ai marre. Je veux voir d'autres horizons."
C'était une chance incroyable ! Pile la personne qu'il nous fallait !
"Acceptes-tu de venir avec nous ? Amakna est sous la pression brakmarienne, elle est déjà en route.
-C'est d'accord, déclara-t-il tout de go."
Et nous nous mirent en route. Les 4 éléments : le feu, la terre, l'eau et l'air. Notre destination : pour le moment, Astrub, mais plus tard, Amakna. Après avoir rapidement traversé le pont de bois reliant Pandala au continent, nous décidâmes de nous arrêter dans les prairies d'Astrub, épuisés, le moral au plus bas. Les bouftous mangeaient tranquillement. Mais plusieurs s'acharnaient à essayer de manger une pierre de saphir. Amusés, nous les regardâmes, et nous effondrâmes, harassés.
Quelque chose clochait. Nous nous déplacions. La pâle lueur grisâtre du matin me parvint d'une fissure dans du bois. Du bois ? Nous nous étions endormis sur une pierre. Et je devais voir le ciel, pas un plafond de bois. Mais ce sentiment de déplacement m'étonnait vraiment. Mais soudain l'horreur m'envahit. Nous avions été enlevés pendant notre sommeil. J'aperçus le conducteur de la charrette. Son habit noir et rouge en disait long : c'était un brakmarien. Hormis mes 3 autres camarades, il y avait une autre personne. Mes yeux s'habituèrent au noir ambiant. La personne était sans doute une femme, ses cheveux extrêmement longs en témoignaient. C'était une pandalette, à coup sur. Puis je repensai soudain au vieillard. Ma mère. Amakna. Habite. Passant ma tête par un trou, je vis la terreur. La terreur pure. Ls gens tombaient de tous les cotés, leurs flancs monstrueusement mutilés par les impitoyables dagues brakmariennes. Et surtout, les 12 temples mythiques à moitié détruits. La destruction d'Amakna avait commencé. Se pouvait-il que la personne à coté de moi soit ma mère ?
"Ma...maman ? murmurais-je.
-Pandan-Lku ? me répondit une voix
-Maman !
-Mon chéri !
-Papa m'avait dit qu'il m'avait trouvé. Il m'a jamais parlé de toi !
-Pourquoi ?
-Je ne sais pas !
-C'est pour ça que je n'ai pas eu de nouvelles de toi depuis si longtemps ! J'étais en route vers Pandala pour te retrouver, mais j'ai été enlevée.
-Il faut sauver Amakna, dis-je avec une voix affolée. Mais je dois d'abord apprendre aux autres mon élément et aux réciproquement.
-Alors réveille-les ! Il faut se dépêcher ! "
Je réveillais alors mes camarades. Ils me regardèrent avec des yeux bouffis, en me demandant ce qu'il se passait. Je leur répondis que l'on avait été enlevés, et qu'il fallait que l'on apprenne tous les éléments. Et chacun de nous nous montra son sort préféré. Au bout de 30 minutes, ma mère nous tendit 4 haches.
"Voici les haches du guerrier Zoth. Elles touchent l'ennemi dans tous les éléments possibles, et vous seront utiles."
Soudain, nous nous arrêtâmes, et nous fûmes poussés à l'extérieur par le conducteur de la charrette. Prenant chacun notre hache, nous nous enfuîmes, et allâmes trouver le responsable de cette macabre situation : Oto Mustam. Une fois tué, Brakmar devait se replier. Nous le cherchâmes, encore et encore, quand me vint une idée : il était peut-être au mythique temple du dopeul sram ! Nous nous élançâmes donc vers le temple. Arrivés, nous vîmes Oto Mustam sur le siège de dieu sram. Endormi. Nous saisîmes donc notre chance. Un de nous l'attaqua de sa hache. Il se réveilla en hurlant de douleur. 3 gardes se précipitèrent vers lui. C'était un combat équitable. Quatre contre quatre. J'attaquais un des gardes avec un sort qui m'avait appris mon camarade de feu : poing enflammé. Il s'effondra, mais se releva de suite. Il me piqua de sa fourche. Une douleur intense m'envahit. Je me cabrai, et répliqua en lançant souffle enflammé. Mon adversaire se courba, une blessure important au bas ventre, et tomba à terre, inerte. Mes compagnons avait eux aussi éliminés leurs adversaires. Il fallait maintenant tuer Oto Mustam. Armés de nos haches, nous l'attaquâmes en même temps. Un petit cri s'échappa de sa maigre gorge.
"Oto Mustam est mort ! cria une voix"
Et tous les Brakmariens se regardèrent, ne sachant que faire. Puis ils s'élancèrent vers leur sinistre ville de sud Ouest du continent.
Mar 13 Avr - 22:56
